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Jolie Fantôme déambulant entre les livres

Jolie Fantôme déambulant entre les livres

Ce texte est une ébauche de nouvelle que j'ai commencé à écrire au mois de mars de cette année, quand j'aurais cinq minutes je la finirai, bonne lecture.

Au fait, ne cherchez pas Mareuil sur Cotterêts dans l'Oise, la ville n'existe pas, ni ailleurs d'ailleurs. 

     Julien marche sans but, comme ça lui arrive très fréquemment depuis quelques temps, surtout depuis le décès de sa femme survenue précipitamment deux mois auparavant. Sa douce épouse a été emportée par un cancer foudroyant ; insupportable, à croire que quand le médecin a mis un mot sur ces maux, tout c’est précipité. Il longe une sente qui surplombe sa ville et il sait que cette sente le mènera à une petite église agrémentée d’un beau parterre de fleur avec quelques bancs pour que les personnes puissent reprendre leur souffle ou profiter du joli paysage. Cette femme, cette épouse qu’il a aimé, avec qui il a pris tant de plaisir à partager sa vie, partagé de bon moment, la naissance des enfants puis des petits enfants, les voyages, les petits restos en tête-à-tête, une vie merveilleuse tant sur le plan amoureux, familiale, sexuel, son âme sœur l’a abandonné lâchement et Julien s’en veut énormément. Depuis qu’il est veuf, Julien est en arrêt de travail pour dépression, c’est la seule maladie que son médecin lui préconise, tout en sachant que les institutions lui foutrons la paix. Depuis la mort de son épouse, Julien ne cesse de repenser à la fin de vie de sa femme brutale et inattendue et ces trois longues semaines de douleur et de torture ; abominable. Julien se pose sur un banc donnant sur sa petite ville Mareuil sur Cotterêts, la plénitude du site le réconforte, l’odeur des fleurs l’enivre et pour quelques instants Julien se sent bien.

- Quelle vue merveilleuse, n’est-ce pas ?

Julien sursaute, pas tant par la question que par la présence de la personne. C’était-il assoupi qu’il ne l’ait pas entendu s’asseoir.

- Oui effectivement.

- Pardon je vous ai fait peur, j’en suis désolé, ce n’était pas mon intention.

- Non, non, un peu surpris c’est sûr, mais peur non, plus depuis quelques temps.

Les journées sont fraîches en ce début d’automne. Malgré un soleil éclatant, ses rayons ne lui permettent pas de réchauffer l’atmosphère. Julien relève le col de son blouson. Depuis quelques temps Julien sent que ses vingt ans sont loin derrière lui et que le poids des années commence à se faire sentir, surtout avec l’épreuve des dernières semaines passés ce poids c’est accentué ; considérablement.

L’heure de la retraite sonnera d’ici quelques mois et Julien pourra prendre un repos bien mérité ; seul. La perception d’une vie sans Marie, sa compagne, n’était pas envisageable et de savoir qu’il va passer le reste de sa vie seul, l’anéanti totalement. Ils avaient fait des projets pour occuper leur retraite, des petits voyages, s’occuper (de temps en temps) des petits enfants, rénover une partie de leur maison dont ils n’avaient jamais eu le temps de s’occuper ou tout simplement pas l’envie. Tous ces projets n’auront aucun aboutissement, puisqu’ils n’ont plus de sens.

Julien reste perdu dans ses pensées à maugréer sur son nouveau statut de jeune veuf. Il y a quelque chose d’ironique d’être un ‘‘jeune veuf’’ jeune, lui qui ne l’ait plus vraiment ; Julien sourit légèrement.

- Ah ! une petite pensé positive, pour afficher ce léger rictus.

- Oui effectivement, je suis veuf depuis quelques jours et le terme ‘‘jeune veuf’’ me fait légèrement sourire.

- A cause de jeune, parce que vous ne l’êtes plus vraiment.

- Effectivement c’est ça, je suis désolé, je ne sais pas pourquoi je vous raconte tout ça, je ne vous connais même pas.

- Apparemment, je fais souvent cet effet là, vous n’avez pas à vous formaliser.

- Excusez-moi, je vais continuer ma promenade.

- Mais vous ne m’importunez guère Julien, puis-je vous vous appeler par votre prénom ?

Julien regarde l’homme assis à ces côtés, auquel il n’avait pas prêté attention depuis qu’il l’avait abordé. L’homme est plutôt grand, de bonne corpulence sans pour cela être bedonnant, un homme sans âge, il pourrait avoir trente ans comme en avoir cinquante, le visage ovale, les yeux marron et une coiffure sortie tout droit d’un magazine de mode, pantalon et veste assortie sur une chemise blanche sans cravate, les jambes croisées et ses mains croisées aussi sont posées sur ses cuisses. Le bonhomme parle doucement avec une voix plutôt grave.

- Je sais, ça fait bizarre à chaque fois. J’ai un don pour deviner certaine chose comme le prénom des gens, dont le vôtre.

- Oui c’est réellement bizarre comme vous dites.

- Mais dite moi Julien, qu’est-ce qui vous met dans une telle lassitude, il fait beau, le temps est agréable et les gens sont avenant, comme c’est jeune gens.

Un couple de jeunes amoureux passent à leur hauteur, le garçon tenant la main de la jeune femme, les doigts entrelacés.

- Bonjour monsieur, disent les jeunes amoureux, la jeune femme souriant timidement.

- Bonjour dit Julien en retour, remarquant que l’inconnu ne répond pas aux jeunes, vous connaissez mon prénom et peut-être même d’autre chose sur moi et je ne connais pas le vôtre.

- Oui évidemment, j’en oublie les bonnes manières, je m’appelle Daniel.

- Bonjour Daniel.

- Bonjour Julien.

- Et vous habitez à Mareuil sur Cotterêts.

- Je ne suis que de passage, j’ai quelques affaires à régler, mais toutefois, je vais rester quelques temps dans votre région.

 

Frank un collègue de travail de Julien, qui se promène avec ses enfants, aperçois Julien et se précipite pour le saluer. Frank s’assoit à côté de Julien presque sur les genoux de Daniel, qui n’est plus là, l’homme a disparu comme par enchantement. Julien regarde par-dessus Frank, derrière le banc, derrière lui et en direction de Mareuil sur Cotterêts, Daniel s’est littéralement volatilisé.

- Et bien qu’est-ce qui t’arrive Julien, ce n’est que moi.

- Excuse moi, j’ai cru… je croyais avoir... laisse tombé, que fais-tu par ici ?

- On est venu profiter d’un beau dimanche ensoleillé avec les enfants, Vanessa travail cette après-midi alors on est venu s’aérer.

- Dimanche...on est dimanche évidemment, excuse moi je suis un peu…

- T’inquiète pas Julien, y a pas de problème, comme je t’ai vu, je venais te dire bonjour.

- Merci, c’est sympa.

Les enfants de Frank, qui ont cinq ans pour la fille et sept ans pour le garçon ; le choix du roi, jouent dans les fleurs derrières le banc. Frank et un peu plus jeune que Julien et il a eu ses enfants tardivement à quarante ans passé. La vie de Frank n’est pas toute rose non plus, il a perdu sa première femme et son fils de onze ans dans un accident de la route, après qu’un chauffard ait percuté de plein fouet et pulvérisé la petite Twingo de Sophie en grillant un feu rouge avec son gros SUV, tuant sur le coup Sophie et son fils Adrien. La vie de Frank s’est arrêté soudainement, son monde qu’il avait construit avec sa Sophie s’est écroulé, soutenu malgré tout par son entourage et les collègues de travailles, dont Julien. Frank s’enfonçait doucement, jour après jour, dans des abîmes de douleurs et de grande dépressions sans que personnes ne puissent rien faire. Frank ne doit son salut qu’à Vanessa qu’il a rencontrer deux ans après ce drame, aux urgences, alors qu’il venait ce faire soigner pour s’être blessé à la main avec un tourne vis en voulant réparer une étagère ; le cliché du parfait mauvais bricoleur. Cette accident lui a tout de même permis de faire la rencontre de Vanessa, infirmière dans cette hôpital et Vanessa lui fit le plus beau et le plus charmant des pansements. Premier café, premier rendez-vous, premier émoi depuis la disparition de Sophie et puis plus tard, deux beaux enfants. Frank, de par son expérience dramatique, sait à quel point il est détestable d’entendre les gens s’apitoyer en disant des formules tel que ‘‘prend le temps qu’il faut’’ ou ‘‘je comprend ce que tu ressens’’ ou ‘‘alors comment vas-tu’’ alors que ça ne va pas du tout et « qu’il ne faut pas avoir fait sciences Po pour comprendre ça ».

- Tu te rappels de la petite stagiaire qui travaillait avec Serge au contrôle qualité et bien elle est partie pour ouvrir une onglerie et créer des bijoux avec une copine, c’est incroyable, il y a quand même quelques jeunes qui on encore le courage d’entreprendre et de se lancer pour ce mettre à leur propre compte. Non mais arrête Léa, ne mange pas les fleurs. Il faut absolument que tu viennes rendre visite à Pierre à son expo…

- As-tu remarqué l’homme qui était assis à ta place, sur ce banc, avant que tu ne viennes me saluer ?

- Heu ! Non, il n’y avait personne, tu étais seul quand je t’ai aperçu.

- Tu es sûr ?

- J’en suis certain, ça faisait dix minutes que je t’avais vu et que j’hésitais à venir te voir et il n’y avait personne avec toi.

- D’accord, je comprend.

 

La visite de Daniel a marqué l’esprit de Julien, ce n’était pas un mal en soit, cela lui permettait de penser un peu moins à Marie. Cette homme lui avait fait une impression bizarre, à bien y réfléchir une impression de ‘‘déjà-vu’’, cette curieuse sensation de connaître une personne sans pour autant savoir où vous l’avez rencontré. Julien déambulait dans les rayons du supermarché en essayant tant bien que mal de remplir son caddie, dorénavant il fallait qu’il se débrouille seul. Après la disparition de Marie, la famille de Marie, sa famille et les amis se sont arrangés pour inviter Julien à dîner ou lui préparer de petit plat pour ne pas le laisser seul et surtout pour qu’il ne meurt pas de faim. Après quelques semaines à être materné, Julien avait pris ses distances avec tous ces pleurnichards, même si cela partait d’une bonne attention, il fallait qu’il puisse de débrouiller sans avoir quelqu’un qui viennent s’apitoyer sur son sort. Julien remplissait doucement son caddie de boite de conserve, de quelques fruits, de quelques légumes se demandant ce que Marie aurait pris entre une laitue ou une frisée, entre un lieu noir ou un bar, il ne s’en rappelait plus comme un tas d’autres choses. C’est elle qui s’occupait de la logistique familial et Julien n’avait jamais vraiment fait attention à tout ça, ils faisaient les courses ensembles et Julien s’occupait uniquement de pousser le caddie. Dorénavant il ne peut plus jamais manger les petits plats, ces dessert que lui préparer son épouse et qu’il affectionnait tant. Quelques personnes de son entourage l’ont invité en lui préparant ses plats préférés, de tout évidence il n’ont pas et n’auront jamais la même saveur que ceux de Marie. Perdu dans ses pensés, à choisir entre telle boite de lentille ou une autre, à ce demandait quel pot de sauce tomate Marie prenait pour ces préparation culinaire, Julien dépose nonchalamment des victuailles dans son caddie sans prêter attention à ce qu’il se passe autour de lui et en déposant un paquet de pâte, il sursaute en se retrouvant nez à nez avec Daniel.

- Bonjour Julien, décidément c’est notre deuxième rencontre et cela fait deux fois que vous êtes surpris de me voir.

- Effectivement vous avez une curieuse manière de faire vos entrées, bonjour Daniel, comment allez-vous ?

- Bien merci, mes petites affaires avancent doucement et j’avoue que votre petite ville est très agréable. Dites moi et vous comment allez-vous depuis que nous nous sommes vu la première fois, j’ai vu que votre ami Frank est venu vous saluer, ce chère Frank, lui aussi a eu un moment de sa vie difficile.

- Et comment vous êtes au courant de la vie de Frank ? Julien fronce les sourcils.

- Oh ! ce n’est pas très difficile, les journaux du coin en ont parlé et je vous l’ai dit, j’ai un don pour deviner les choses.

- Vous êtes quoi un complotiste, un espion, un escroc ? Ou pire un journaliste ?

- Non rien de tout ça Julien, croyez moi, vous m’êtes très sympathique et je voudrais partager un peu de temps avec vous, si vous ni voyez pas d’inconvénient.

- Et si moi je n’en ai pas envie ?

- Je vous laisserais tranquille à retourner à votre petite vie de ‘‘jeune veuf’’ comme vous dites.

- Je ne sais pas pourquoi, quelque chose me pousse à vouloir faire la conversation avec vous, ça aussi vous allez me dire que c’est normal ?

- J’ai envie de vous dire que oui. Bien, si on se retrouvait tantôt sur le banc de l’autre jour, ça vous convient ?

Julien n’avait cessé de remplir doucement son caddie tout en suivant la conversation avec Daniel, arrivé au bout du rayon, il se retourne pour prendre du poivre en grain, ça il connaît parce que c’est lui qui remplit le poivrier, et quand il le dépose dans son caddie, Daniel a disparu. Julien regarde autour de lui et dans les rayons parallèles où il se trouve, Daniel s’est de nouveau volatilisé comme la première fois.

- Drôle de personnage, ce dit Julien.

 

Depuis le décès de Marie, Julien ne sait pas résolu à vider les armoires, ni les tiroirs des affaires de son épouse défunte. Presque tous les jours il fouille dans ses habits, les renifles, les respires et puis les ranges. Il a gardé plus particulièrement une écharpe en soie, saturée de son parfum avec laquelle il a même dormi les premières nuits suivant sa disparition et qu’il porte de temps en temps lorsqu’il est chez lui ; acte de présence odoriférante avec lequel il se raccroche pour faire semblant, pour faire comme si rien ne c’était passé, pour faire comme si elle était encore présente. Il a même acheté un flacon du même parfum pour être sûr de ne pas en manquer et vaporiser l’écharpe quand le parfum s’estompera. Bien évidemment la nuit et pire que tout, Julien peut sentir encore la présence de Marie à ses côtés, il peut encore la sentir respirer, il peut tout simplement la sentir, humer son odeur corporel, sentir sa chaleur corporel, deviner ses courbes et quand il ouvre les yeux, Marie se dissipe à la faveur du jour dans une brume légère, mettant fin à ses songes.

 

Durant sa promenade de l’après-midi, Julien avait décidé de ne pas ce rendre à la petite église rejoindre Daniel. Instinctivement il suivait le bord d’une rivière, sans se préoccuper de sa destination, perdu dans ses pensées, Julien s’aperçoit qu’il a quelque difficulté à avancer, se rendant compte qu’il grimpe une sente assez raide.

- Il n’y a pas de chemin qui monte le long de la rivière, comment...est-ce possible.

Au détour d’une courbe que forme la sente, Julien débouche sur la petite église où l’attend Daniel assis sur le banc.

- Ah vous voilà, je suis ravi que vous puissiez venir.

- Je crois que n’ai pas eu le choix !

- Nous avons toujours le choix chère Julien, croyez moi nous avons toujours le choix, n’en doutez pas.

- Et par quel exploit j’ai pu me retrouver ici avec vous, alors qu’il y a dix minutes je longeais la rivière.

- Dix minutes vous dites, alors comment vous expliquez que vous êtes parti de chez vous depuis deux heures maintenant !

- Deux heures ! Mais...ce n’est pas possible.

- Venez, asseyez vous à mes côtés.

Julien est un peu hagard, il ne comprend pas comment il a pu ce retrouver à cet endroit et ne plus ce rappeler ces deux dernières heures.

- Vous savez Julien, j’ai le sentiment que nous allons bien nous entendre, vous et moi.

- À bon et comment vous pouvez en être sûr.

- Et bien je dirais...le feeling.

- Comment ça le feeling, on ne sait parlé que quinze minutes, et en deux fois en plus.

- Et bien oui justement, c’est quinze minutes mon confortée dans le fait que nous pouvons avoir un bon feeling.

- D’accord, pourquoi pas, au pire il me faudra vous éviter et comme ça, plus de feeling ou je ne sais trop quoi.

- Votre ami Frank a merveilleusement bien reconstruit sa vie, n’est-ce pas ?

- Oui depuis qu’il a rencontré Vanessa, sa vie a changé drastiquement.

- Et vous, vous pourriez changer de vie a ce point.

Julien regarde son acolyte du moment dans les yeux en espérant savoir s’il se fout de lui.

- Vous savez, beaucoup de personne, homme ou femme, sont confrontés à ce genre de situation, malheureusement vous n’êtes pas le premier, il n’y a qu’à voir votre ami Frank, et vous ne serez pas le dernier. Vous avez encore de belle années devant vous, vous ne voudriez pas les passer à vous morfondre.

- Ce que je fais de ma vie ne vous regarde en aucun cas, si je veux me morfondre pour le reste de ma vie, cela ne regarde que moi et moi seul, vous m’entendez, moi seul.

Julien étais rouge de colère et sur le point de s’en aller et ayant à peine haussé le ton.

- Je comprends ce que vous ressentez, croyez moi, mais l’univers...la terre ne va pas arrêter de tourner, tiens prenez ce couple sur le banc d’en face, ce son deux amants, ils sont mariés mais pas ensembles, croyez-vous qu’ils se soucient de vos petites frasques ? Eux ils profitent du moment présent, parce que le jeune homme n’en a plus pour longtemps ou alors c’est peut-être la jeune femme, qui peut savoir. Ces deux là veulent passer un maximum de temps ensembles avant que tout s’arrête.

- Mais ça vous ne pouvez pas le savoir...n’est-ce pas !

- Bien sûr que non, évidement...à moins que l’on viennent me susurrer des choses à mon oreille comme savoir comment vous vous appelez, Daniel sourit de toute ses dents.

- Vous commencez à me faire peur, dit doucement Julien.

- Il n’y a vraiment pas de quoi avoir peur Julien. Pensez-vous que l’univers tout entier sait quel tourment vous préoccupe, bien sûr que non, mais par contre, peut-être, que des institutions émérites, des forces supérieurs sont à votre écoute.

- Vous plaisantez j’espère, dit Julien en ricanant, je suis sûr que vous plaisantez. Oui bien sûr, évidement, qui pourraient croire en un être supérieur ! Je ne crois pas à tous ces balivernes, vous comprenez, je suis agnostique et ne crois en rien à un être supérieur ou à quoi que ce soi, quand on meurt on meurt une bonne fois pour toute.

- Oh croyez moi Julien, le monde est peuplé de personnes qui croient en des divinités diverses et varier susceptible de venir en aident aux gens, de venir les aider et d’autres personnes plus ou moins fanatiques et plus ou moins adorateurs de différents dieux, vivent sur cette planète et ne vivent que pour cela et pour certain propager la bonne parole. Mais tout ceci ne change rien au fait que vous continuez de dormir avec l’écharpe de votre femme, n’est-ce pas ? Et de ce fait vous ne croyez en rien ; c’est évident...

Yanic Dubourg

le 25 mai 2023

Liancourt Saint-pierre

Tag(s) : #nouvelles, #Extrait de livre, #Fantastique, #Apparition
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